On m’interpelle très régulièrement sur l’importance de la tenue de crayon et s’il est vraiment nécessaire de la modifier.
Certains professionnels de la rééducation s’appuient sur une étude qui déclare quatre tenues de crayon « matures ». C’est la seule étude réalisée, à ma connaissance, elle citée dans le document Livret d’accompagnement de programme – français CP paru en septembre 2025 et dans l’article de Marie-France Morin, Florence Bara, Denis Alamargot. Apprentissage de la graphomotricité à l’école : Quelles acquisitions ? Quelles pratiques ? Quels outils ? Scientia Paedagogica Experimentalis, 2017, 54 (1-2), pp.47-84.
Il s’agit d’une étude nord américaine où comme vous le savez on écrit en script. Un certain nombre d’articles montre le peu d’impacts de la tenue sur la qualité de l’écriture.
Notre écriture cursive a cette spécificité qu’elle est liée, demande une maitrise du geste graphique facilitée par une bonne mobilité digitale.
Bien sûr, on peut réussir à bien écrire en tenant son crayon comme une patate parfois même avec vitesse et sans douleur. Une tenue de crayon non conventionnelle demande de réaliser les gestes graphiques par petits mouvements saccadés du poignet.
Plus de 95 % des élèves bénéficiant d’un suivi en graphopédagogie se sont présentés en cabinet avec des tenues de crayon dites matures: 2, 3 et 4 (ou d’autres plus fantaisistes) dans cette recherche avec des problématiques de lisibilité, de douleurs et/ou de vitesse.
En tant que parent ou enseignant, peut-on se permettre de jouer à la roulette russe en se demandant si notre enfant ou nos élèves seront de ceux qui s’en sortent avec ce type de tenues?
L’accompagnement en graphopédagogie consiste à réapprendre à nos élèves à écrire avec la tenue 1 appelée dans l’étude « tripode dynamique ». On préfère la dénomination « tridigitale » car en grec le suffixe -pode signifie pied et en graphopédagogie justement on ne veut plus écrire comme un pied.
C’est par ce changement que nos élèves obtiennent une écriture qui n’est plus un problème: alors pourquoi vouloir en enseigner une autre?
Voici pour chaque tenue (autre que la tridigitale dynamique) l’amélioration obtenue par un échantillon de nos élèves:
TENUE 2: quadripode dynamique
TENUE 3: tripode latérale
TENUE 4: quadripode latérale
Ces trois prises ne permettent pas de mobiliser la flexion/extension/rotation du pouce gage de l’automatisation de l’écriture sans douleur.
Pour bien écrire, apprenons à nos enfants à mobiliser leurs doigts en utilisant la tenue 1 tridigitale dynamique.
La classe flexible, un concept éducatif en plein essor, repose sur un aménagement de l’espace de classe qui s’adapte aux besoins des élèves et des activités d’apprentissage. Ces nouvelles propositions d’aménagement de l’espace sont souvent des tentatives de réponses face à des cohortes d’élèves qui évoluent: difficultés d’attention, de concentration, agitation, refus de travailler… et l’envie de penser l’école autrement de façon individualisée dans un espace qui est avant tout collectif.
Avantages de la classe flexible :
Amélioration de l’engagement des élèves : Les élèves sont plus motivés et concentrés grâce à un environnement adaptable qui favorise leur confort et leur style d’apprentissage. Ils sont invités à choisir l’espace qui leur convient. Depuis que je connais l’impact de la non-intégration de certains réflexes archaïques chez un nombre de plus en plus important d’élèves et leurs conséquences sur des compensations posturales qui entravent la concentration, je tends à penser que cela peut être une réponse. Les élèves de primaire sont-ils en capacité de pouvoir choisir le poste dans la classe le mieux adapté à leurs besoins?
Promotion de l’autonomie : Les élèves peuvent, dans certaines situations, choisir où et comment ils travaillent, ce qui les rend plus responsables de leur apprentissage.
Collaboration renforcée : Les classes flexibles peuvent faciliter le travail en groupe, la communication et les échanges d’idées entre élèves.
Différenciation pédagogique : Les enseignants peuvent ajuster l’espace selon les besoins spécifiques de chaque élève ou groupe, permettant une meilleure individualisation de l’enseignement. La classe est répartie en coins de travail autonome. L’enseignant, selon les temps d’apprentissage, peut choisir de se déplacer d’élève en élève ou de regrouper autour de lui dans un espace défini les élèves qu’il accompagne.
Réduction du stress et de l’anxiété : Un environnement moins rigide et plus convivial peut contribuer à un climat de classe apaisant et permettre à certains enfants de se sentir mieux, plus libre de leurs mouvements.
Inconvénients de la classe flexible :
Manque de structure pour certains élèves : Les élèves qui ont besoin de routine et de structure peuvent se sentir désorientés ou distraits dans un environnement trop ouvert. La classe flexible supprime le pupitre individuel traditionnel. L’enfant n’a plus d’espace qui lui est propre, de lieu qu’il retrouvera au retour de récréation, sécurisant, avec ses affaires. Au retour de récréation, j’assistais régulièrement à l’installation d’élèves à leur place, s’allongeant sur leur table comme s’ils lui faisaient un câlin, touchant leur trousse semblant sécurisés de retrouver leur espace et leurs affaires. Ce type de structure place plus souvent les élèves en situation de travail autonome, seul face à un atelier, une tâche: ont-ils toujours les ressources pour savoir comment procéder pour réussir et valider le travail demandé?
Coût et ressources : L’adaptation d’une classe traditionnelle à une classe flexible peut nécessiter un budget important pour du mobilier modulable, de nouveaux équipements, etc. Ces équipements sont très souvent acheté avec l’argent personnel de l’enseignant car peu de budgets exceptionnels sont débloqués par les mairies. Plusieurs types d’assises sont proposés au sein d’une classe et je m’interroge sur la latitude qu’ont les enfants pour choisir leur place. Il n’est pas rare qu’au cabinet un élève me rapporte que pendant la journée il n’a pas pu avoir accès au bureau où il se sent le plus à l’aise (avec parfois des petites « guerres de territoire ») et il arrive parfois que certains me rapportent qu’ils ont passé la journée assis parterre.
Gestion plus complexe pour l’enseignant : Cela demande une planification supplémentaire et une gestion du temps, du niveau sonore et des activités plus minutieuse pour maintenir un bon déroulement des cours. Ce type de fonctionnement repose essentiellement sur la mise au travail autonome de l’élève. Les élèves se retrouvent plus souvent sur des tâches à effectuer en autonomie, donc en silence qui ne me semblent pas propices à la mémorisation (méthode MéMo).
Choix de l’installation : Dans la classe flexible, plusieurs types d’assise sont proposés aux élèves. Les élèves peuvent ainsi dans certaines situations être libres de se placer où bon leur semble: il arrive alors qu’ils soient trop nombreux à vouloir s’assoir sur les ballons, à choisir une assise qui peut sembler plus « fun » mais ne correspondant pas à leur confort… On trouve également des coins d’activités attitrés où les élèves doivent s’installer pour effectuer un travail précis: coin maths, coin écoute… La question que je me pose lorsque je vois des salles de classe flexible est: m’y sentirai-je bien si j’y étais élève? J’ai eu l’occasion d’être stagiaire à une formation de plusieurs jours où nous étions assis sur un tapis plus de 6 heures par jour: j’ai souffert le martyr (je vous accorde que je n’ai plus la souplesse d’un enfant de 10 ans).
Risques de distractions : Un environnement plus ouvert peut encourager certains élèves à se déconcentrer, surtout si les règles ne sont pas bien établies.
Du point de vue de la graphopédagogie?
Que cela soit au cabinet de la part des parents ou dans les écoles lors des formations enseignants, on me pose souvent la question de ce que je pense de ce dispositif en tant que graphopédagogue.
Une des premières choses enseignées en graphopédagogie aux élèves de tous âges est LA POSTURE. Avec chaque élève, je prends le temps de démontrer l’importance de bons appuis qui sont indispensables pour une bonne mobilité du bras, des doigts, une bonne visibilité sur ce qui est écrit…
Alors… que penser de plateaux petit-déjeuner dont certains ont un rebord pour ne pas renverser son café, d’assises qui bougent, tournent, balancent, roulent… trop hautes, trop basses… ne permettant pas de poser ses deux pieds bien à plat?
Certes le mobilier scolaire traditionnel n’est pas toujours adapté car il est standard dans une classe où les différences de taille sont parfois importantes mais la plupart du temps, il permet aux élèves d’avoir un placement stable avec un appui sur leurs pieds et le dos droit. J’encourage donc mes élèves, pour le travail écrit, à s’installer à une place qui leur permet cette posture et aux enseignants d’y veiller, mais est-ce toujours possible?
Les classes flexibles offrent des avantages pour encourager un apprentissage actif et centré sur l’élève. Cependant, leur mise en œuvre doit être réfléchie et adaptée aux besoins des élèves et des enseignants, afin d’en maximiser les bénéfices tout en atténuant les inconvénients potentiels. Elles ne sont pas une réponse magique aux difficultés d’apprentissage et l’usage nous dira si cela a un effet positif sur les résultats des élèves.
Cette collection parascolaire des Editions Bordas propose des activités d’apprentissage et de remédiation de l’écriture de la maternelle à l’âge adulte. A chaque âge son cahier pour suivre les conseils de deux graphopédagogues professeurs des écoles de manière ludique et progressive.
En compagnie de Sacha le chat, les élèves vont apprendre le lexique de leurs mains et de leurs doigts, et les muscler. Des exercices pour délier les doigts leur permettront d’accéder facilement à une tenue de crayon maîtrisée. Un élève qui ne sait pas mobiliser ses doigts n’est pas prêt à écrire.
Un petit format facile à placer et à manipuler par les élèves de maternelle.
La spécificité de notre cahier est d’associer la phonologie et l’écriture: en s’appuyant sur le travail de phonologie, l’élève va pouvoir exercer son habileté graphique tout en associant le son et le sens.
-Nous avons choisi de proposer deux cahiers, petits et légers, pour faciliter leur manipulation par les élèves.
-Pour prendre de bonnes habitudes permettant l’accès à la fluidité, la rapidité, l’élève doit s’installer au mieux et mobiliser ses doigts. Des conseils en photos et vidéos sont donnés dans les premières pages.
Nous mettons gratuitement à votre disposition sur le site Bordas :
Des sous-mains (pour droitier et pour gaucher) pour bien positionner son cahier et ses bras.
– Le lignage proposé est évolutif au fil des cahiers : du lignage simple qui permet à l’élève de se concentrer sur la forme en mobilisant ses doigts, jusqu’au Seyès 3 mm.
Bien écrire, c’est bien se positionner, bien tenir son crayon, bien tracer. L’enjeu principal de ce cahier est de préparer les élèves à mobiliser leurs doigts dans le geste d’écriture, non le poignet.
Ce cahier propose un travail systématique sur la mobilité des doigts, une automatisation des gestes graphiques en travaillant les formes de base à l’aide d’un guidage vocal proposé qui aide les élèves à mieux maitriser le geste. (conforme aux nouveaux programmes), la liaison lecture/écriture, des stratégies de copie…
Dans la continuité de l’utilisation du cahier lignage avec colonnes 3 mm, il permet de faire un pas vers l’usage d’un cahier Seyès classique. Il s’adresse donc aux élèves de CP ayant terminé le cahier 3 mm et également aux élèves de CE1, CE2, cycle 3, ULIS, IME… qui éprouveraient des difficultés à respecter le lignage avec une écriture trop grande, dansant sur les lignes…
Un format parfaitement adapté aux élèves dès l’apprentissage de l’écriture cursive. Le format portrait de 17 x 22 cm permet de voir toute la ligne, l’empan visuel étant encore réduit jusqu’à l’âge de sept ans. Ce petit format est également adapté à la taille de l’avant-bras de l’élève, qui peut le déplacer sur toute la largeur de la page sans avoir à bouger tout son corps.
Un lignage qui se rapproche le plus possible de celui d’un cahier Seyès traditionnel et permet de découvrir sa structure (marge, carreaux, lignes, interlignes, etc.).
Une zone grisée en bout de ligne, qui donne la possibilité à l’élève d’anticiper la fin de son mot et le passage à la ligne suivante.
Ce cahier propose une révision des minuscules en retravaillant les gestes graphiques accompagnés d’une oralisation, un apprentissage des lettres majuscules cursives, des stratégies de copie et la production de phrases puis d’un texte.
Dans la continuité, ce cahier permet de travailler la posture, la mobilité des doigts , les formes de lettres minuscules et majuscules, les stratégies de copie et la production de phrases structurées.
Cette collection accompagne l’élève dans toutes les étapes de l’apprentissage de l’écriture cursive. De nombreuses ressources vidéos, affiches, sous-main… sont en accès gratuit sur ce site ou sur le site ressources de Bordas.
Le cahier de Lignage avec colonnes vient enrichir la collection des cahiers d’écriture Bordas pour tous, dont l’objectif est de permettre aux élèves d’acquérir un geste graphique fluide.
Bien écrire, c’est bien se positionner, bien tenir son crayon, bien tracer. L’enjeu principal de ce cahier est de préparer les élèves à mobiliser leurs doigts dans le geste d’écriture, non le poignet.
Il est important que l’élève comprenne que l’écriture doit se faire d’un mouvement des doigts. Cela nécessite donc qu’il place correctement son avant-bras afin d’avoir la main sous la ligne d’écriture.
Les colonnes proposées dans ces cahiers est un vrai plus car elles sont un rappel constant pour l’élève afin qu’il positionne correctement son cahier, son avant-bras, sa main. Il peut ainsi le vérifier, en s’assurant que le point en bas de la colonne dans laquelle il est en train d’écrire est bien caché par son avant-bras.
Il est destiné aux élèves qui débutent en écriture et découvrent l’utilisation d’un cahier. Il est parfaitement adapté aux élèves de Grande Section et CP.
Un format parfaitement adapté aux élèves dès l’apprentissage de l’écriture cursive. Le format portrait de 17 x 22 cm permet de voir toute la ligne, l’empan visuel étant encore réduit jusqu’à l’âge de sept ans. Ce petit format est également adapté à la taille de l’avant-bras de l’élève, qui peut le déplacer sur toute la largeur de la page sans avoir à bouger tout son corps.
Un lignage qui se rapproche le plus possible de celui d’un cahier Seyès traditionnel et permet de découvrir sa structure (marge, lignes, interlignes, etc.). Il est allégé des lignes verticales sauf celles des colonnes.
Une zone grisée en bout de ligne, qui donne la possibilité à l’élève d’anticiper la fin de son mot et le passage à la ligne suivante.
Dans la continuité de l’utilisation du cahier lignage avec colonnes 3 mm, il permet de faire un pas vers l’usage d’un cahier Seyès classique. Il s’adresse donc aux élèves de CP ayant terminé le cahier 3 mm et également aux élèves de CE1, CE2, cycle 3, ULIS, IME… qui éprouveraient des difficultés à respecter le lignage avec une écriture trop grande, dansant sur les lignes…
Un format parfaitement adapté aux élèves dès l’apprentissage de l’écriture cursive. Le format portrait de 17 x 22 cm permet de voir toute la ligne, l’empan visuel étant encore réduit jusqu’à l’âge de sept ans. Ce petit format est également adapté à la taille de l’avant-bras de l’élève, qui peut le déplacer sur toute la largeur de la page sans avoir à bouger tout son corps.
Un lignage qui se rapproche le plus possible de celui d’un cahier Seyès traditionnel et permet de découvrir sa structure (marge, carreaux, lignes, interlignes, etc.).
Une zone grisée en bout de ligne, qui donne la possibilité à l’élève d’anticiper la fin de son mot et le passage à la ligne suivante.
Ils peuvent être utilisés en cahier du jour, en cahier d’écriture, pour n’importe quelle matière. Ils ont également été pensé comme outil de remédiation pour les élèves n’arrivant pas à écrire dans les lignes.
En graphopédagogie, il est très rare qu’il n’y ait pas besoin de revoir les lettres rondes: c, o, a, d, q et g. Le tracé de ces lettres fait souvent débat: présence d’oeilleton? , lettre en plusieurs morceaux (trait d’attaque, rond, canne…)?, à quel moment lever le crayon? ….
Je vous propose un jeu, une dictée muette pour inviter les enfants à encoder des mots contenant des lettres rondes.
Je vous invite à découper les images (le dessin et son étiquette), on plie ensuite l’étiquette pour la coller au verso de l’image. L’enfant cherche le mot représenté. Il l’encode. La présence d’une lettre muette est signalée. Il peut s’auto-corriger en retournant l’étiquette.
Pour réviser le tracé de chaque lettre:
Pour travailler l’enchainement des lettres:
Pour revoir la formation de l’ensemble des lettres:
Ce qui fait la spécificité de notre écriture est que les lettres sont liées. La liaison des lettres a plusieurs avantages: elle permet l’automatisation du geste, la fluidité, la vitesse… D’ailleurs le terme cursif est emprunté du latin médiéval cursivus, de currere, « courir ».
Ainsi, lors de l’apprentissage de l’écriture, l’enseignant attirera l’attention de ses élèves sur cette spécificité et lui permettra de s’entrainer à écrire en liant les formes puis les lettres.
Vous trouverez sur le site de nombreuses activités autour des formes et leurs enchainements:
– Le train des gestes:
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–Objectif écriture:
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– Les réglettes des formes:
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Lors de l’écriture de mots, il est donc important que les élèves sachent qu’en dehors de quelques lettres qui nécessitent un lever de crayon: les rondes (a, c, d, g, o et q) car elles démarrent par un c, ainsi que la lettre x qui finit par un c, tout doit être tracé sans interruption. Le mot terminé, on revient pour les accents, le point du i ou du j et la barre du t. C’est une bonne occasion pour relire le mot et vérifier qu’on n’a rien oublié, on privilégiera un ajout de gauche à droite. On me demande souvent « et le p? et le s? ». Ces deux lettres ne nécessitent pas de lever de crayon. La main bien placée sous la ligne permet de faire le « p » en pliant dépliant les doigts sans déformation. Le « s » se ferme en faisant un petit rebond sur le p du début de lettre, on peut ainsi enchainer la lettre suivante sans risquer une cassure dans le mot.
Je vous propose un jeu pour travailler cette spécificité avec vos élèves ou votre enfant sur le thème du printemps, de la nature.
J’ai fait une découverte dans la classe de Maitressedzecolles que je souhaite partager ici.
Il s’agit d’une ardoise transparente qui mesure 30 x 22 cm de chez MAPED.
Elle s’utilise avec un feutre ou un crayon effaçable à l’eau. Elle présente l’avantage de ne pas glisser une fois posée sur le pupitre et surtout on peut glisser des modèles dessous. L’élève pourra ainsi s’entraîner plusieurs fois, sans crainte de rater, avant d’utiliser son crayon pour écrire sur les réglettes des formes ou sur son cahier d’écriture GS ou son cahier d’écriture CP.
Bien sûr, cette ardoise peut être utilisée, sans modèle, afin d’apprendre à maitriser peu à peu le mouvement des doigts nécessaire pour tracer des boucles, des pics…
Apprendre dès le début à nos élèves à incliner le support, à mobiliser les doigts, à tracer les formes de base de l’écriture lui permettra d’accéder à une écriture automatisée , dans les lignes, fluide et rapide.